Nous supposons que vous souhaitez effectuer des travaux sur vos murs, peut-être les repeindre. Il s’agit d’un métier, donc si vous ne suivez aucune norme, le résultat ne sera pas bon. Nous rencontrons fréquemment des traces sur les murs dues à un travail d’amateur. Ces marques sont le résultat d’une technique apprise de manière non professionnelle, c’est pourquoi nous avons inclus quelques solutions professionnelles pour vous aider à éviter de faire des marques sur vos murs.
D’abord : d’où viennent les traces ?
Il est essentiel de comprendre comment les marques se forment et pourquoi j’en fais en peignant avant d’aborder les différentes méthodes permettant de ne laisser aucune marque. Les marques peuvent être causées par d’autres facteurs.
Des traces se forment si la température est trop élevée, trop basse ou si l’air est excessivement humide. Par conséquent, il est essentiel de surveiller l’environnement et la météo (en particulier en ce qui concerne la peinture extérieure). La température ambiante idéale se situe entre 10° et 20° Celsius.
D’autres raisons, tant techniques que physiques, peuvent laisser des traces. Celles-ci peuvent être contrôlées. Nous parlons ici de « traces de reprise« , qui sont causées par une application de peinture arrêtée trop tôt. C’est pourquoi vous devez être prudent lorsque vous faites des pauses ; c’est la principale cause des traces sur les murs.

Pour éviter les traces : misez sur les bons outils
Une peinture de mauvaise qualité n’adhère pas bien au mur et nécessite beaucoup plus d’applications de peinture et de quantité pour avoir un résultat acceptable. À l’inverse, une peinture de qualité est correctement diluée et n’adhère pas bien au mur ; elle représente donc un coût moindre que les bonnes peintures mais nécessite beaucoup plus d’applications. Selon l’adage, « le prix s’oublie mais la qualité demeure »
Vous devez également choisir les outils appropriés. Il est difficile d’utiliser une peinture de haute qualité avec un pinceau bon marché. Cette loi est applicable dans tous les domaines. Il est impossible de rouler à 150 km/h avec un vieux moteur et une voiture d’occasion. En peinture, c’est la même chose !
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Choisissez un environnement favorable
Le climat est également crucial. La peinture doit être appliquée dans un environnement agréable. Trop chaud, trop froid, et c’est la règle ! Dans le cas contraire, la peinture ne séchera pas aussi vite qu’elle le devrait, ce qui entraînera d’autres problèmes. Entre 10° et 20° est l’idéal sans se répéter !
Une couche de base (ou sous-couche) est utilisée pour fournir une base au mur. Comme les couches suivantes ne laisseront pas de traces s’il n’y a pas de sous-couche, on utilise de la peinture comme sous-couche plutôt qu’une autre substance comme un produit d’étanchéité ou un vernis. S’il n’y a pas de sous-couche, une partie de la peinture peut être absorbée par la surface, ce qui entraîne des variations de niveau et des traces potentielles.
Pensez à une bonne organisation
Pour commencer, il faut choisir un côté en fonction de notre position. Commencer par la droite signifie que le côté gauche sera inoccupé tout au long de l’application de la peinture, il est donc plus logique pour un droitier de commencer par là. De même, commencer par la gauche est beaucoup plus pratique pour les gauchers.
Les bandes adhésives sont nécessaires pour protéger les coins, les prises et le sol. Elles vous permettent de ne pas peindre sur ces parties et de ne pas « déborder » La simple application de ce produit a un impact important pendant le travail. La peinture en bandes est la technique la plus populaire car elle vous permet d’être propre, organisé et d’éviter les dangers de la peinture sur une couche existante.

Contrôlez la peinture sur le rouleau
La qualité de la peinture, ainsi que la quantité utilisée, auront un impact sur l’aspect des différentes couches. Cela dépendra plus ou moins de la peinture que vous choisissez. Supposons que vous utilisez une peinture de qualité décente. Il n’est pas nécessaire d’en utiliser trop car elle pourrait laisser des traces indésirables si elle est qualitative et épaisse.
Favoriser l’application de nombreuses couches (en traitant chacune d’entre elles en tenant compte du temps de séchage) tout en maintenant une linéarité dans le processus d’application et la quantité de peinture utilisée.
Finissez bien votre travail
Nous vous avons dit précédemment que pour un bon résultat, différentes couches sont nécessaires. C’est alors que ces couches sont réalisées en une seule fois ! Il n’y a jamais de pause dans l’action à partir du moment où l’on commence une couche ! Lorsque vous vous arrêtez pour vous reposer en cours de route, la peinture a le temps de sécher et de déformer les marquages, ce qui entraîne une déformation lors de l’application. L’objectif est d’éviter de remarquer une quelconque démarcation.
Une fois la pièce terminée, elle doit respirer. Quand nous parlons de « respirer », nous ne voulons pas dire que vous devez la laisser à la pluie et au vent. On utilisera un ventilateur pour sécher la peinture, ou une ventilation naturelle en ouvrant les fenêtres et les portes (c’est aussi bon pour l’odeur…), en faisant attention à ce qui se passe dehors !

